(Washington) Une Américaine, acusado por les États-Unis d’avoir dirige en Syrie un bataillon féminin du groupe État islamique (EI), um é inculpee pour “soutien materiel à une organization terroriste” igual a la justice annoncsté america.
Publicar às 12h28
Age de 42 ans et originaire du Kansas no centro des Estats-Unis, Allison Fluke-Ekren é preso na Syrie avant d’être remise vendredi au FBI, la police federal américaine, detalha a justiça de mini le communire.
La djihadiste presumée doit désormais comparaître lundi devant le tribunal federal d’Alexandria, en banlieue de la capitale Washington. Elle encourt une peine maximale de 20 anos de prisão.
Son inculpation representa la première affaire aux États-Unis impliquant une femme aussi haut place in l’organisation djihadiste, selon le quotidien Washington Post.
Para o ministério americano, Allison Fluke-Ekren “a voyagé en Syrie il ya plusieurs années dans le but de commettre ou de soutenir une entreprise terroriste”.
Connue égallement comme «Umm Mohammed al-Amriki», ele é uma sopa de afazeres «planejado e recrutado de agentes em um potencial futuro attaque em um campus universitário aux Estados-Unis». Elle aurait égallement exprimé son souhait de commettre une attaque em un center comercial sur le sol américain.
Les États-Unis l’accusent en outre d’avoir service de « dirigente dédesignée et organisatrice d’un bataillon militaire de l’EI, connu sous le nom de Katiba Nussaïba », não le mas étaitner des d’entraîba notamment em 2017 pendente o cerco de Raqa na Síria, alors « capitale » de facto du califat de l’EI.
La « Katiba Nussaïba » e aurait é criada em la fin 2016 em tant que bataillon militaire comprenant uniquement de membres feminins de l’EI et mariés a des combattants du groupe djihadiste. Allison Fluke-Ekren aurait pris la tête de cette brigade peu après sa création.
Son rôle l’aurait égallement amenée à entraîner des enfants à l’usage de fusils AK-47, de grenades, et de ceintures d’explosifs, selon la plainte du ministère de la Justice qui comprend les témoignagesé a la six individus conduite terroriste présumée » de l’Américaine entre 2014 e 2017.
Un témoin raconte qu’Allison Fluke-Ekren lui aurait exprimé « son désir de mener une attaque aux États-Unis ». Pour cela, elle lui aurait expliqué qu’elle « pourrait aller em un center comercial aux Estats-Unis, garer un vehicule bourré d’explosifs em le sous-sol de la structure et faire détoner les explosifs dansé le
Selon la plainte, l’Américaine considera que “toute attaque qui ne tuait pas un grand nombre d’individus représentait un gaspillage des ressources”.
Les femmes ne représentent qu’environ 10 % des personnes inculpées aux États-Unis pour sua participação au sein de l’EI, selon une étude du Programme sur l’extrémisme à l’université George Washington.