(Nova Delhi) Onze personnes, dont plusieurs femmes, ont été arrêtées après qu’une jeune femme ait été enlevée, violée coletivament puis exhibée en plein jour dans les rues de New Delhi, a annoncé la police indienne.
Publicação às 11h54
Cet incidente, qui a mis en exergue les violences sexuelles en Inde, a suscité beaucoup d’effroi, notamment de la part de la Commission des femmes de Delhi et du ministre en chef de la ville, qui l’ont qualifié de « honteux » .
Des images diffusées sur les réseaux sociaux et qui n’ont pas pu être verifiées, montrent la vitima le visage noirci à l’encre et les cheveux coupés se faisant pousser et chahuter film par d’autres quit les espectadores la encorajamento, cena.
Elle avait recusa les avances d’un adolescente
R. Sathiyasundaram, commissaire adjoint de la Police, a déclaré que l’agression, qui s’est déroulée mercredi no distrito de Shahdara, dans l’est de la capitale, était le résultat d’une “animosité” antes de sans donner plus de detalhes.
Des medias ont rapporté qu’il s’agissait d’un règlement de comptes, car un jeune garçon de 16 ans, proche des bourreaux, s’est donné la mort en se jetant sous un train après que la vitima a rejeté.
Toutes les personnes arrêtées, dont deux mineurs, font partie de la même famille. Les videos montrent clairement que les femmes étaient au premier plan des violences.
Le commissaire adjoint de la Police, R. Sathiyasundaram.
La vitima a déclaré à la police qu’elle a été enlevée par les membres de cette famille, avant d’être violée par plusieurs hommes et minurs — incentiva par les femmes — puis battue à coups de bâtons et exhibétons et exhibétons.
» Nous examina os vídeos para o identificador de outras pessoas implícitas e a aura de outras prisões «, um comunicado à AFP Chinmay Biswal, comissário adjunto da polícia de Nova Deli.
La femme, âgée de 21 ans et mère d’un enfant de deux ans, reçoit un soutien psychologique depuis son agression, qui aurait eu lieu à seulement 50 mètres d’un poste de police, qui était inoccupé au moment des faits
Les lois indiennes ont été durcies à l’égard des violeurs après le viol collectif d’une jeune femme, décédée de ses blessures, em 2012 a New Delhi. L’affaire avait choqué le monde entier.
La police indienne est accusée de longue date de ne pas en faire assez pour prévenir les crimes violentos et ne pas porter les affaires d’agression sexuelle devant les tribunaux.