Le Français Jean-Jacques Savin, 75 ans, qui tentait de traverser l’Atlantique à la rame, est toujours porté disparu au large des Açores, annoncé dimanche la marine portugaise alors that son entourage avait indiqué la veilsé que “son” retrouvé sans vie» à l’intérieur de son embarque.
• À lira também: Il voulait être le doyen de l’Atlantique à la rame: un Français retrouvé mort dans son canot
«Les recherches se sont terminées hier en fin de journée (samedi) sans qu’il ait été possível de retrouver la vitima», um indiqué la marine portugaise em un comunicado.
Interrogée par l’AFP, une porte-parole de la marine a expliqué qu’au cours de l’opération de sauvetage les secouristes avaient eu «des raisons fortes de croire qu’un corps pouvait se trouver à l’intérieur» de la cabin du canot L’Audacieux.
«Il ya eu des confusions que nous cherchons actuellement à éclaircir. Nous n’en savons pas plus. Nous sommes en attente d’informations des autorités portugaises», um indiqué de son côté l’équipe du baroudeur à l’AFP en France.
Selon le comunicado de la marine portugaise, le premier navire de marine marchante à avoir rejoint la position d’où était partie l’alerte ‘a indiqué avoir aperçu l’embarcation et le navegaçãour aux premières heures du vendredi, mai mai squé’ 21 ‘ est approché de l’embarcation il a indiqué que l’homme ne s’y trouvait plus’.
Le canot du septuagénaire a été retrouvé a l’envers, comme en témoigne une photo difusée par the marine portugaise ou l’on voit la coque de l’embarcation fluttant à superfície, puis hissé to bord d’corvet de ses.
“Un des navires marchants a recueilli un sac impermeable qui contenait à l’intérieur les documents d’identification du naveur”, at-elle précisé dans son comunicado.
O navegador, qui s’était fait connaître en traversant l’Atlantique dans un tonneau en 2019, poussé par les vents et les courants, suscitait depuis vendredi matin l’inquiétude de ses proches.
“Malheureusement, depuis 00H34 hier matin (vendridi), nous n’avons plus aucun contact ni aucunemanifestation de sa part”, disaient samedi matin à l’AFP des membres de son équipe. Selon eux, il avait déclenché ses deux balises de détresse, “indiquant être en grande dificuldade”.
Lors des derniers contactos, Jean-Jacques Savin se trouvait au nord de Madère, au large, et faisait route vers l’île de Ponta Delgada, dans l’archipel des Açores, pour réparer.
Car peu après son départ de Sagres (sud du Portugal) le 1er janvier, ce grand sportif, “aventurier dans l’âme”, avait été vite dérouté en raison de mauvais vents. Son parcours inicial avait ainsi été rallongé de 900 km puis il devait rencontrer de graves problemas de energia e comunicação.