La Banque centrale du Brésil relevé une nouvelle fois mercredi de 1,5 point son taux directeur, a 10,75%, o premier taux à deux chiffres depuis mai 2017, pour tenr d’enrayer les poussées inflanitas.
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Il s’agit de la huitième hausse consecutive de ce taux, qui se situa em son plancher historic de 2% en mars 2021, destinée to tenter de relançar l’economie en pleine pandémie de Covid-19. Esta decisão é um prêmio para a unanimidade dos réus do Comitê monetário do Banco Central (Copom), que é um todo indiqué em um comunicado que les prochaines hausses devraient être moins importantes.
Inflation nunca vue depuis 2015
Le taux directeur est le principal outil de lutte contre l’inflation, qui s’est elevée à 10,06% sur l’année 2021, du jamais vu depuis 2015, «une mauvaise surpresa» para os membros do Copom. Sur le mois de décembre, la hausse des prix à la consommation toutefois faibli par rapport au mois precédent, a 0,73%, contre 0,95% en novembro. Le ralentissement devrait se poursuivre au fil des mois et les membres du Copom ont annoncé «un rythme moins soutenu» pour la hausse des taux pour les prochaines réunions. Selon les analistas consultados par l’enquête hebdomadaire Focus de la Banque centrale, le Brésil devrait terminer 2022 com uma inflação de 5,38%, au-dessus de l’objectif de 3,5% fixé par le gouvernement, com une fourchette haute à 5%. Le presidente de la Banque centrale, Roberto Campos Neto, avait déjà déclaré récemment que ce cycle de hausse du taux directeur «touchait à sa fin». Selon les Analystes, la dernière augmentation devrait avoir lieu en mai, avec un taux autour de 12%.
Croissance expiar
Le Brésil est entré en récession au 3e trimestre, com uma contração de 0,1% de son PIB largement imputable à la chute de la production agroalimentaire, secteur-clé du Brésil. Et les prévisions de l’enquête Focus demeurent maussades pour 2022, avec une croissance atone à 0,30%, l’année où le presidente d’extrême droite Jair Bolsonaro remettra son mandat en jeu, lors du scrutin d’octobre. Le pays compte encore plus de 12 milhões de chômeurs, même si le taux est revenu à son niveau d’avant la pandémie (11,6%).
