Jean Lucas marché sur l’eau, Dubois boit la tasse

A excelência de Jean Lucas e Wissam Ben Yedder, as escolhas de Bosz ou o bis da não-defesa de Léo Dubois, descobrindo os tops e os flops do Monaco-Lyon (2-0).

TOPS

Jean Lucas, la liberté guidant le peuple

Le milieu de terreno brésilien é oniprésent ce soir a Louis II contre Lyon (2-0). Dans un rôle hybride between le relayeur et le milieu offensif, l’ancien lyonnais a été dans tous les bons coups ou presque. Il crucifie ses anciens partenaires après seulement 101 seconds de jeu, sur un service de l’excellent Wissam Ben Yedder (voir par illeurs). Au quart d’heure de jeu, il est proche du double, après à nouveau être servi par son capitaine. À la demi-heure de jeu, il contre la reprise lointaine de Malo Gusto qui filait vers le but. Jean Lucas é um papel mais defensivo no segundo período, avant de céder no lugar aos 79 minutos.

Ben Yedder la joue comme Benzema

Un Wissam Ben Yedder des très grands soirs ce samedi. Il est passeur décisif sur le premier but de Jean Lucas, avant de lui même inscrire le deuxième but de la partie et faire d’une pierre deux coups: concretiser un temps fort monegasque, et asphyxier encore Lyon penais plus les. Généreux dans ses esforços, il a été souvent à la dernière passe et aurait pu être crédité de plusieurs passes decisivos sans la maladresse de ses coéquipiers. Il était proche d’un double à l’issue d’un ultime contre (93e).

Diop fait le espetáculo

Il est le passeur sur le deuxième mas de son équipe mais au-delà de ça, il a été très remuant. Malgré les très bonnes prestations de Jean Lucas, Wissam Ben Yedder ou encore Kevin Volland, Sofiane Diop est l’attaquant qui a le plus gêné les Lyonnais. Souvent très haut et bien placé, il n’a pas compté ses esforços pour presser ses adversaires. Il a égallement pu régaler les quelques spectateurs de Louis II de ses gestes técnicas: une roulette par ci, un petit pont par là.

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FLOPS

Bosz passa uma partida de coté de son

Les choix du tacticien néerlandais pouvaient surprendre avant la rencontre et ils ont finalement été payants… pour Monaco. Titularizador de seis defensores, despeje prendre deux buts em 30 minutos, il fallait y penser. Sa ligne arrière ne savait comment se placer et les monegasques trouvait des espaces entre les lignes et entre les défenseurs axiaux eux-mêmes. Le coach lyonnais a fait trois changes après la mi-temps, mais cela semblait trop tard ou presque. O mal était fait, ao inverse du match contre l’OM (2-1), où la reorganization tactique avait payé.

La deuxième periode

Um segundo ato cataclísmico. Les Lyonnais ont tenu le ballon (69%) pendente la deuxième période mais ne savaient pas quoi en faire. Malgré l’entrée de deux joueurs offensifs – Rayan Cherki et Romain Faivre – et Tanguy Ndombélé au milieu, l’OL ne s’est créé aucune ocasião franche ou presque. Huit tirs mais seulement trois cadrés pingente ces 45 minutos. L’ASM n’a pas non plus aidé to relever le niveau de ce deuxième acte. Après avoir fait le espetáculo en début de match, les joueurs de Philippe Clément ont tranquillement frequentu les Lyonnais em sua moitié de terreno. En même temps, quand on a vu les ofensivas adversas, comment leur en vouloir ?

Lucas Paqueta, toujours au Brésil ?

Em le savait orphelin de Juninho, le voilà désormais sans Bruno Guimarães. Lucas Paqueta a cruellement manqué de repères ce samedi soir, lui qui est rentré du Brésil il ya trois jours seulement. Titular comme ailier droit, proche de Moussa Dembélé, celui qui aime être assez bas et dans l’axe si possible n’a jamais su trouver le rythme. Le Brésilien s’est souvent retrouvé au sol, tentant de récupérer la faute, annihilant parfois l’action lyonnaise. É sorteado em cinq minutos do fim do jogo, em um anonimato presque.

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Léo Dubois, vraiment capitaine ?

Lui aussi a semblé perdu sur le terreno. Titular axial droit de la défense to trois, le défenseur français n’a jamais trouvé to place. L’international tricolore laissait souvent de la place dans son dos, en couvrant mal l’espace. Dans le sens inverse, ses montées s’effectuaient souvent à contretemps. Le capitaine lyonnais jouait dans la même zone que Malo Gusto, et parfois plus haut que celui qui jouait pistão. Malgré les deux buts encaissés très rapidement par son équipe, on n’a jamais senti la moindre révolte de celui qui porte le brassard. Le passage à une défense à quatre en deuxième período de lui a été à peine bénéfique.

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