Rapport sur le partygate | Sèchement rappelé à l’ordre, Boris Johnson se dit «desolé»

(Londres) O primeiro ministro Boris Johnson apresentou lundi ses desculpas e promessas de pneu des leçons des erreurs commises, après avoir été sérieusement rappelé à l’ordre dans un rapport sur de multiples fêtes qui le à downchoment pendente opinion.

Publicar às 9h44
Dia de hoje às 13h29

Martine PAUWELS
Agence France-Presse

« Je suis désolé pour les chooses que nous n’avons tout simplement pas bien faites », um déclaré le chef du gouvernement conservateur, tentant de sauver la situação face au escândalo.

Égallement visé par une enquête de police pour ces évènements, Boris Johnson, 57 anos, a fait son mea culpa devant les députés réunis à la Chambre des communes, assurant “compendre la colère” des Britanniques.

« Je compends et je vais y remédier. Je veux dire aux habitants de ce pays que je sais quel est le problème », a poursuivi le premier ministre. « Vou! », lui ont rétorqué des députés travaillistes, dans une environment houleuse.

Le chef du gouvernement lutte pour garder son poste. Na popularidade, é mais eficaz nas sondagens e na publicação de relatórios de relacionamento para o alto funcionário Sue Gray, um peu plus accablé, celle-ci ayant dénoncé « des erreurs de Leadership et de jugement » à ù « Downing Street o certos nombre de ces rassemblements n’auraient pas dû être autorisés».

À une período o les Britanniques étaient contraints de limiter drastiquement leurs interações sociais en pleine pandémie de COVID-19, « Certain des comportements Liés à ces rassemblements sont difficiles à justifier », at-elle pointé du doigt.

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Sue Gray deplore notamment une «consommation excessivo d’alcool» et souligne que le jardin de la résidence du premier ministre é utilizado para «des rassemblements sans autorisation claire ou sansvigilance», ce qui «n’étaé pas appro».

«Je pense qu’il n’est pas apte à être premier ministre, il devrait démissionner», a jugé Sarah, funcionária do serviço público de saúde, entrevistada por l’AFP em Londres.

Tom, qui travaille dans la finance estime lui que « cela ne sert à rien de s’attarder sur la question, il ne va pas démissionner et je suponha qu’il ya des chooses plus importantes à faire maintenant. »

« Pris pour des idiotas »

Outre le rapport de la haute fonctionnaire, qui s’est penchée sur seize fêtes organisées en 2020 et 2021 to la résidence du premier ministre, la police doit rendre ses conclusões sur plusieurs de ces fêtes, potentiellement les plus dommageables.

La police métropolitaine de Londres (la « Met ») enquête sur des évènements qui se seraient produits à huit date, entre mai 2020 et avril 2021. — qui avait reconnu y avoir participé tout en assertant penser qu’il s’agissait d’une réunion de travail — et une fête d’anniversaire surpreso en son honneur le 19 juin 2020.

La Met a dit dans un comunicado avoir reçu mais de 300 imagens e 500 páginas de informações.

Pour ne pas compromettre cette enquête qui pourrait durer des mois, Sue Gray a expliqué qu’elle n’avait pu faire qu’« une réference minimale » à ces rassemblements.

Son rapport a donc été expurgé d’éléments clés, ce qui a provoqué l’indignation.

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Um porte-parole de Downing Street assegurou-se do fim do processo, o premier ministro demandera de Sue Gray d’actualiser son travail à la lumière de ce qui sera établi ».

Ces conclusões finais seront déterminantes pour Boris Johnson.

Les partis de l’opposition et rights members du camp conservador du premier ministre réclament d’ores et dejà son départ.

Il «nous a tous pris pour des idiots», um dénoncé le chef du part travailliste, Keir Starmer.

O crítico despeje a recusa do demissionário, M. Starmer e apele aos membros do partido conservador para “mettre fin à cette farce” em déclenchant un vote de défiance.

Des députés conservadores ont déjà publiquement appelé leur leader à la démission. D’autres Attendaient la publicação du rapport Gray pour se décider.

Lundi, l’ancienne cheffe du gouvernement conservatrice, Theresa May, a elle-même sèchement critiqué son successeur, lui demandant s’il « n’avait pas lu les règles, s’il ne comprenait pas ce qu’elles signaient il pensait que les règles ne s’appliquaient pas para Downing Street ».

Em um ambiente particular, o chef du parti national écossais au parlement, Ian Blackford, um tanto quanto o primeiro de desistente da Câmara das comunas para avoir recusa de aposentar des acusações proféticos contra Boris Johnson.

Despeje o que há de melhor nos escândalos, o primeiro ministro de um contre-ofensivo, anunciando um projeto de loi lié au Brexit, e haussant le ton face à la Russie.

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