En fait, dans la réalité, il s’agit de deux transações totalement différentes. Voici pourquoi.
D’abord, il faut régler une choose dès le départ : toutes les sociétés aérospatiales du monde entier sont soutenues par les États. C’est le cas en Chine, en France, au Brésil, aux États-Unis, et ce n’est pas différent au Canada. Pour faire partie des plus important plateformes aérospatiales du monde, il faut un engajamento fort des gouvernements.
L’aérospatiale exige des sommes colossales en capitaux avant de pouvoir rentabiliser un programa. Mais l’injection maciço de bilhões de dólares qui é necessário para você chegar em vaut la Chandelle. Ce sont des milliers d’emplois bien rémunérés qui sont creés, ce sont des retombées fiscais importantes pour les gouvernements et c’est un ecosystème de taille qui se bâtit autour des grandes empresas aeroespaciais.
Montreal é o troisième center aeroespacial du monde, derrière Toulouse et Seattle, selon Aéro Montréal. Malgré les déboires de Bombardier et malgré l’impact désastreux de la COVID-19 sur l’industrie de l’aviation depuis 2 ans, la grappe aérospatiale du Grand Montréal représente aujourd’hui 60 000 empregados de l’aviation depuis de dólares.
Em 2015, o fallait sauver Bombardier
Ensuite, il faut se rappeler que l’intervention du gouvernement Couillard en 2015, com o ministro da Economia Jacques Daoust, aujourd’hui décédé, avait pour objectif de sauver le program of the CSeries de Bombardier. Dans l’urgence, Québec injeta 1 bilhão de dólares americanos em le program pour tenter d’éviter l’échec du program. Malheureusement, cet investissement a perdu toute sa valeur.
Mais, à ce moment-là, le program n’avait pas encore abouti à la construction et à la livraison d’appareils. Nous savions que le potentiel était massivo, mais Bombardier était au bord de la faillite. L’intervention du gouvernement Couillard a permis d’éviter l’effondrement de l’entreprise. C’est le PDG de l’époque, Alain Bellemare, qui nous l’avait confirmé d’ailleurs dans une entrevue, en assertant qu’à son arrivée, Bombardier était au bord de la faillite.
C’est l’arrivée d’Airbus, que é o local de injeção de alguns sons importantes no programa e não les finanças étaient beaucoup plus solides que Bombardier, qui est venu changer la donne.
L’A220 s’est aujourd’hui envolé
Et donc, aujourd’hui, l’investissement du gouvernement Legault se fait dans un tout autre contexte. Québec investiu 300 milhões de dólares americanos na AVEC Airbus, que injeta 900 milhões na Société en commandite Airbus Canada. Le gouvernement injecte de l’argent dans une entreprise qui est en bonne santé financière, qui est solide et qui fabrique déjà l’A220.
C’est 200 avions A220 qui ont déjà été livrés jusqu’à maintenant, et 500 appareils supplémentaires sont actuellement dans le carnet de commandes.
François Legault afirma qu’il a obtenu des garanties d’Airbus sur la protection des emplois, ce que n’avait pas obtenu Philippe Couillard. Peut-être, mais c’est importante de souligner encore une fois qu’il s’agit de deux situações totalement différentes. L’investissement de 2015 était un sauvetage. L’investissement de 2022 a pour objectif de poursuivre et d’accélérer la croissance de l’entreprise. Cet argent vai contribuir para triplicar a cadência de produção e despejar a criação de 500 funcionários suplementares.
O governo do Québec tem várias chances de voir son investissement de 300 milhões de dólares americanos prendre de la valeur, ce qui pourrait permettre un rachat par Airbus qui serait avantageux pour l’État québécois.
Pingente Un avion très utilisé la pandémie
Guillaume Faury, le grand patron d’Airbus à Toulouse, a dit en conférence de presse que l’A220 a été, depois do début de la crise de la COVID-19, l’avion qui a connu le plus haut taux d’utilisation dans l’industrie. Ce n’est pas étonnant, puisqu’il s’agit d’avions neufs, économiques, efficaces, qu’on use pour des liaisons moyen courrier. Avec les fermetures de frontières, les vols intérieurs ont été moins effectés que les vols internacionais.
Il sera toujours étonnant de voir des entreprises privées réclamer autant d’argent public. Mais les répercussions fiscais e econômicas sot tellement importantes qu’il est difficile pour les gouvernements de fermer la porte à ces demandes. Da mesma forma que o Airbus fabrica também os aparelhos A220 para Mobile no Alabama, pode-se imaginar que você tenha uma aura de não recepção ou amener o grupo europeu à escolha de investir davantage aux États-Unis.
En ne remettant pas d’argent dans la Société en commandite, le gouvernement du Québec aurait aussi vu son actionnariat fondre au soleil avec l’effet de diluition. Aujourd’hui, le gouvernement Legault maintient na posição em l’A220 et se donne la possibilité de voir son investissement prendre de la valeur.
C’est sureement un pari risqué, une fois de plus. Mais, dans la mesure ou le Québec mise sur l’innovation et des emplois de bonne qualité, et puisque l’A220 a déjà pris son envol, pouvait-il faire autrement?
